Le vent de l’Esprit pousse au large, vers l’inconnu, la désinstallation, la dépossession, etc. L’esprit de clocher, lui, empêche la communion et le renouvellement. L’Église est ainsi tiraillée entre le fidèles prêts à prendre le large et ceux préférant rester sur le rivage. «Dans des temps de perturbations et d’ébranlement comme ceux que nous vivons, l’Église a davantage besoin d'apprendre à faire du surf sur les vagues, que d'ériger des digues de béton pour se protéger des inondations »,
affirmait jadis Mgr
Bernard Hubert.
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