Trou d'eau
Psaume 147
Expression
populaire pour désigner une flaque d'eau demeurant dans la rue ou sur le
terrain après la pluie.
Le trou d'eau a
un pouvoir extraordinaire de fascination chez les enfants. Pensons simplement à
leurs jeux favoris à la fonte des neiges.
Pourquoi
parler de "trou d'eau" en plein mois d'août, alors que nous rêvons de
soleil et de beau temps? Simplement parce que dans l'îlot où j'habite, huit
propriétés sur neuf possèdent un trou d'eau appelé "piscine". Qu'il
soit hors terre ou creusé dans le sol, ce trou d'eau exerce un pouvoir de
fascination chez les grands enfants que sont les adultes.
Mais
contrairement à leurs cadets, l'intérêt ne consiste pas à sauter dedans, mais
plutôt à s'asseoir autour, un "drink" à la main, bien enrobé de crème
solaire. De temps à autre, une petite "saucette" vient justifier
l'investissement de ce bain extérieur qui, selon les statistiques, sert environ
vingt-cinq jours par année.
Quand je
pense à une piscine, me viennent à l'idée tout le travail de son entretien, les
chaises à replacer après un "party", les dépenses à la SAQ, le B.B.Q.
et toutes les "grignoteries" nécessaires aux réceptions de mes amis
estivaux que je ne reverrai d'ailleurs plus à l'arrivée des vrais trous d'eau
de l'automne.
L'autre jour,
bien installé sur le bord de la piscine, je me suis assoupi et j'entendais
sourdement, non plus le bruit du filtre à eau et les gargouillis de l'écumoire,
mais celui d'une foreuse qui cherchait désespérément de l'eau dans le sous-sol
de l'Éthiopie...
Je ne sais pas
trop pourquoi, mais ce fut la fin de ma séance de bronzage au bord de mon trou
d'eau...
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