Saint Jean Bosco
Fondateur de la société de
Saint-François-de-Sales et de l'Institut des Filles de Marie-Auxiliatrice (+
1888)
C'était un fils de pauvres
paysans piémontais. Adolescent, il joue à l'acrobate pour distraire sainement
les garnements de son village. Devenu prêtre à force de sacrifices, il se
dévoue aux jeunes ouvriers de Turin abandonnés à eux-mêmes. Il crée pour eux un
centre de loisirs, un patronage, puis un centre d'accueil, puis des ateliers.
Rien de tout cela n'était planifié à l'avance, mais ce sont les besoins
immenses qui le pressent. Jamais il ne refuse d'accueillir un jeune, même si la
maison est petite, même si l'argent manque. Plutôt que de refuser, il
multipliera les châtaignes comme son maître multipliait les pains en Palestine.
Sa confiance absolue en la Providence n'est jamais déçue. Ses
"enfants" seront bientôt des centaines et tous se feraient couper en
morceaux pour Don Bosco. Sa mère, Maman Marguerite, vient s'installer près de
lui et jusqu'à sa mort, elle leur cuira la polenta et ravaudra leurs vêtements.
Très marqué par la spiritualité de saint François de Sales, Jean Bosco invente
une éducation par la douceur, la confiance et l'amour. Pour ses garçons, il
fonde l'Oratoire, l'œuvre, qui sera à l'origine de la congrégation des prêtres
salésiens. Pour les filles, il fonde la congrégation de Marie-Auxiliatrice. Don
Bosco mourra, épuisé, en butte à l'hostilité de son évêque qui ne le comprend
pas, mais entouré de ses disciples.
Site des religieux Salésiens
de Don Bosco
Don Bosco par thèmes - Pour
découvrir la pédagogie et la spiritualité salésienne, il y a aussi la
"méthode Don Bosco"...
Portail de la Famille
Salésienne de Don Bosco
Mémoire de saint Jean Bosco,
prêtre. Il connut une enfance pauvre et dure, et après son ordination, il mit à
Turin toute son énergie à l’éducation des jeunes et fonda la Société de
Saint-François de Sales et, avec l’aide de sainte Marie-Dominique Mazzarello,
l’Institut des Filles de Marie Auxiliatrice, pour enseigner aux jeunes un
métier et la vie chrétienne. Après avoir réalisé tant de projets, il mourut à
Turin en 1888.
Sainte Marcella
Moniale à Rome, disciple de
Saint Jérôme (+ 410)
Noble dame romaine qui, la
première, n'hésita pas à faire publiquement et "ouvertement profession de
dévotion" (O. Englebert). Belle, riche, cultivée et raffinée, personne
n'osait se moquer d'elle. Son palais sur la colline de l'Aventin fut bientôt le
centre de toutes celles qui, autour de saint Jérôme, voulaient suivre les conseils
évangéliques, secourant les pauvres, visitant les malades, adoucissant le sort
des esclaves. Lorsqu'en 410, les barbares d'Alaric s'approchèrent de Rome, ses
amies s'enfuirent pour aller rejoindre saint Jérôme en Palestine. Trop âgée,
elle avait quatre-vingt-cinq ans, elle resta à Rome et les soldats goths la
battirent durement pour lui faire avouer où étaient ses richesses. Elle n'en
avait plus, les ayant données aux pauvres. Elle mourut quelques jours plus tard
de ses blessures. Les synaxaires des Églises d'Orient la commémorent également.
À Rome, commémoraison de
sainte Marcelle, veuve, en 410. Comme l’écrit saint Jérôme, elle méprisa
richesses et noblesse et se rendit plus noble par sa pauvreté et son humilité.
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