Sainte Rosalie
Vierge, à Palerme
(1130-1160)
Sainte Rosalie, du sang
royal de Charlemagne, naquit à Palerme, en Sicile, d’un chevalier français et
d’une parente de Roger, roi de Sicile. La Sainte Vierge lui apparut et lui
conseilla de se retirer du monde. Rosalie, à quatorze ans, quitta le palais de
son père sans avertir personne, n’emportant qu’un crucifix et des instruments
de pénitence. Deux anges la conduisirent sur une montagne voisine de la ville.
Dans une grotte inconnue et enveloppée de neige pendant plusieurs mois, Rosalie
passa quelques années, partageant son temps entre l’oraison, la prière et la
pénitence. Des racines crues faisaient sa nourriture ; l’eau du rocher lui
servait de boisson. Souvent elle recevait la visite des Anges, et le Sauveur
Lui-même venait parfois S’entretenir avec elle. On voit encore dans cette
grotte une petite fontaine qu’elle creusa pour réunir les eaux qui suintaient à
travers les fissures de la roche ; on voit aussi une sorte d’autel grossier et
un long morceau de marbre où elle prenait son repas, un siège taillé dans le
roc et une vigne très ancienne, qu’on croit avoir été plantée par elle.
Aussitôt après sa
disparition, sa famille la fit rechercher dans toute la Sicile. Les anges
avertirent Rosalie qu’elle serait bientôt découverte, si elle ne changeait de
demeure ; elle prit aussitôt son crucifix et le peu d’objets qu’elle avait avec
elle et suivit ses guides célestes ; ils la conduisirent sur le mont
Pellegrino, où ils lui indiquèrent une grotte obscure et humide qui lui servit
de retraite pendant les dix-huit dernières années de sa vie.
Sainte Rosalie, du sang
royal de Charlemagne, naquit à Palerme, en Sicile, d’un chevalier français et
d’une parente de Roger, roi de Sicile. La Sainte Vierge lui apparut et lui
conseilla de se retirer du monde. Rosalie, à quatorze ans, quitta le palais de
son père sans avertir personne, n’emportant qu’un crucifix et des instruments
de pénitence. Deux anges la conduisirent sur une montagne voisine de la ville.
Dans une grotte inconnue et enveloppée de neige pendant plusieurs mois, Rosalie
passa quelques années, partageant son temps entre l’oraison, la prière et la
pénitence. Des racines crues faisaient sa nourriture ; l’eau du rocher lui
servait de boisson. Souvent elle recevait la visite des Anges, et le Sauveur
Lui-même venait parfois S’entretenir avec elle. On voit encore dans cette
grotte une petite fontaine qu’elle creusa pour réunir les eaux qui suintaient à
travers les fissures de la roche ; on voit aussi une sorte d’autel grossier et
un long morceau de marbre où elle prenait son repas, un siège taillé dans le
roc et une vigne très ancienne, qu’on croit avoir été plantée par elle.
Aussitôt après sa
disparition, sa famille la fit rechercher dans toute la Sicile. Les anges
avertirent Rosalie qu’elle serait bientôt découverte, si elle ne changeait de
demeure ; elle prit aussitôt son crucifix et le peu d’objets qu’elle avait avec
elle et suivit ses guides célestes ; ils la conduisirent sur le mont
Pellegrino, où ils lui indiquèrent une grotte obscure et humide qui lui servit
de retraite pendant les dix-huit dernières années de sa vie.
Catholique.org
Bonjour a chacun de vous merci de visiter mon blogue.
Les textes, et images ont été pris sur le web.
Ceux qui y verront des images qui leur appartiennent bien vouloir m’en avertir je les enlèverai.
Merci à tous.